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  HISTOIRE DU COLLEGE SAINT-HADELIN (4)
 

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L’importance du personnel enseignant :
Problème : les restrictions successives de l'encadrement


Les années 1990 ont connu bien des mesures visant à opérer des restrictions budgétaires rendues inévitables par la communautarisation de l'enseignement.
Dans l'enseignement francophone, la généralisation du rénové quinze ans plus tôt avait engendré un accroissement des coûts tel qu'il n'était plus jugé supportable pour les finances publiques. On assista, de manière quasi inéluctable, à une série de décrets visant à diminuer l'encadrement par des mesures linéaires, ce qui produisit des effets néfastes sur le climat social. Dès 1986, les restrictions décidées par le gouvernement à Val Duchesse avaient provoqué des grèves dans toutes les écoles, répétées en 1990 contre les mesures prises par le ministre Ylieff. En 1993, le ministre di Rupo imposait un nouveau plan d'économies, notamment en relevant fortement les normes nécessaires au maintien d'établissements autonomes : les établissements trop peu peuplés devaient disparaître ou fusionner; au même moment fut instauré le fameux N.T.P.P., nombre total de périodes - professeurs établi pour une année scolaire en fonction de la population au 15 janvier de l'année précédente, moins avantageux que le système de calcul antérieur : en vain s'élevèrent de nouvelles réactions hostiles des corps professoraux.
Mais le plus dur restait à venir. Au début de 1996, la ministre Onkelinx annonçait un plan drastique visant à réduire de près de dix pour cent le taux d'emploi dans l'enseignement secondaire; et dès le 8 février, on assista au début d'une "drôle de grève", les enseignants ayant demandé aux élèves de ne pas se présenter dans leurs écoles alors qu'eux-mêmes continuaient de s'y rendre, situation pénible plus ou moins bien acceptée par les parents et l'opinion
publique, mais qui perdura jusqu'aux vacances de Pâques. La même ministre promulgua aussi le 24 juillet 1997 le décret "Missions de l'école", accompagné d'une campagne médiatique ambiguë ("Mon école comme je la veux"), dont une conséquence concrète fut l'obligation de créer dans chaque établissement un Conseil de Participation réunissant des représentants du P.O., des enseignants, des parents, des élèves et de l'environnement socio-culturel, Conseil chargé de proposer au P.O. un projet d'établissement et d'en suivre l'évolution. Il faudrait encore mentionner un décret relatif au 1er degré (1994) interdisant le redoublement de la première secondaire, abrogé plus tard par le ministre Hazette. Les grilles horaires proposées aux élèves n'échappèrent pas non plus à l'attention
des sphères supérieures. Parmi les réformes vécues dans ce domaine de 1996 à 2006, nous épinglerons les plus importantes : l'interdiction de compter comme option les cours de français à 6 h semaine au 3e degré, l'addition sans compensation d'une heure de sciences au 1er degré (3 h par semaine au lieu de 2) et au 2e degré (3 h au lieu de 2, 5 h au lieu de 4), la rationalisation des cours de sciences au 3e degré, qui passent de 3 h, 5 h ou 7 h par semaine à 3 h ou 6 h, ainsi que celle du volume accordé au français et aux mathématiques au 2e degré : 5 hau lieu de 4 pour le français, 5 h pour les mathématiques (au lieu de 4 h ou 6 h). Sans compter qu'au moment où nous écrivons ce chapitre, la ministre Arena soumet au gouvernement de la Communauté française un nouveau décret relatif à la grille horaire du 1er degré qui devra être appliqué en 2007 et qui restreindra la marge de manoeuvre des écoles dans la détermination des activités complémentaires proposées aux élèves.

Confronté à ces multiples restrictions et impositions, le Collège a toujours eu à coeur de réagir de la façon la plus positive possible, avec le souci de continuer à apporter à ses élèves une formation de qualité, qui les prépare à aborder les études supérieures avec les meilleurs atouts dans leur bagage. Et l'accroissement permanent de sa population a permis aux enseignants de conserver leur emploi.

Statut des enseignants et C.E.S.
En 1993 fut promulgué le 1er statut des enseignants du réseau libre. Il fixait de manière légale les droits et obligations des enseignants et ceux de leurs employeurs, les Pouvoirs Organisateurs. Notamment, il imposait à ces derniers un certain nombre de règles strictes dans le réengagement des membres du personnel temporaire ayant acquis de l'ancienneté au sein des écoles du P.O. et même du réseau libre confessionnel. La mise en oeuvre de ce statut, reconnu par tous comme une avancée sociale bienvenue, nécessita de la part du directeur et des secrétaires B. Praillet-Dejardin et J.-Cl. Legaye une formation solide, une vigilance sans faille, ainsi qu'une concertation étroite avec les collègues directeurs du même Pouvoir Organisateur, surtout pour les nominations des membres du personnel et le réengagement des temporaires prioritaires, dans le souci de maintenir au maximum la cohésion des équipes éducatives et d'éviter de "faire courir" d'une école à l'autre des professeurs appelés "navetteurs".




Chronique des dix dernières années (1996-2006)

1995-1996 Débuts du douzième directeur, G. Lesoinne,
1030 élèves, liesse, deuils, grèves - Premier annuaire

L'année scolaire 1995-1996 avait commencé sous les meilleurs auspices, avec une rentrée plantureuse qui voyait la population scolaire dépasser pour la première fois le cap des mille élèves, la parution, due au nouveau directeur, du premier annuaire du Collège, livret de 48 pages d’informations utiles, l'inauguration de la salle dite des Saints-Fainéants superbement restaurée et la fête organisée le 21 octobre pour Henri Swinnen à l'occasion de son départ. Elle allait se poursuivre dans la douleur, consécutive au décès de Joseph Giuranno, élève de 4e (26 janvier), et de Ludovic Torre, élève de 5e jusqu'au 15 novembre 1995 (16 février); mais aussi parce que, à partir du 8 février, toutes les écoles de la Communauté française allaient être gravement perturbées par des mouvements de grève liés au décret très pénalisant du gouvernement de la Communauté française.
En avril, quatre-vingt-trois rhétoriciens découvrent les charmes de Prague, Budapest et Vienne pendant dix jours mémorables. En mai, Jean-Paul et Maléna Labiouse nous émouvront par deux mises en scène exceptionnelles : celles de "Miracle en Alabama" et de "Areu = MC2".

1996-1997 Fusion des deux D.O.A. en un seul, dirigé par Mme Petit
En septembre 1996, on approche des 1100 élèves ! On inaugure aussi le tout nouveau bloc sanitaire de la cour dite "des externes", une réalisation nécessaire et très bien conçue. Le jeudi 14 novembre, le recteur de l'ULg, M. Arthur
Bodson vient stimuler les rhétoriciens et les élèves de 3e latin-grec. Un oratoire est aménagé dans le bâtiment principal. Nous avons signalé, parmi les décrets successifs, celui de 1993, qui affectait les établissements les moins peuplés. Il nous faut y revenir un instant pour en signaler une conséquence dans le C.E.S.C. de Visé : en 1997, ce décret amena le Pouvoir Organisateur à fusionner en un seul les deux D.O.A. qui se partageaient presque tous les élèves de 1ère et 2ème années du secondaire sur les trois implantations.
Ainsi, de quatre établissements administratifs, le C.E.S. passa à trois "matricules", heureusement sans perte d'emplois, et les deux postes de directeurs de D.O.A. étaient remplacés par un poste de directeur et un poste de sous-directeur.
La Fédération de l'Enseignement Catholique, qui avait désormais cette prérogative dans le cadre d'une restructuration, exigea que fussent intégrées à ce D.O.A. Saint-Hadelin les classes de 1ère et 2e qui jusqu'alors faisaient encore partie du "matricule” Collège Saint-Hadelin. Fort heureusement, au-delà de cette péripétie n'affectant que l'aspect administratif des choses, le Collège restait une école secondaire à six années, tout comme l'Institut du Sacré-Coeur et l'Institut Saint-Joseph.

La nouvelle mouture du D.O.A. Saint-Hadelin aura pour directrice Mme Paulette Petit-Schynts, déjà directrice depuis 1995 (mais alors, ce D.O.A. ne comportait qu'une partie des élèves du 1er degré).
Le nombre d'élèves de cet établissement a permis la création d'un poste de sous-directeur, attribué à M. Daniel Maréchal, professeur de l'Institut Saint- Joseph, puis, en 1999, à M. Eddy Bonten, professeur d'éducation physique à l'Institut du Sacré-Coeur. L'un après l'autre, ces deux collaborateurs de Mme Petit vont s'occuper des jeunes élèves des Instituts techniques, Mme Petit consacrant ses énergies à la gestion pédagogique du premier degré du Collège jusqu'au 31 août 2006 : c'est M. Bonten qui va lui succéder dans la fonction de directeur du D.O.A.
Le 13 octobre, décède Mme Jacqueline Sindic-Depreay, premier professeur féminin, entrée le 1er septembre 1970. Le 25 février, le R.P. Charles Delhez, S.J., interpelle les élèves de 5e et 6e à propos de l'amour et du mariage. Le 4 mars 1997, le directeur général du Bureau international du travail, M. Michel Hansenne, s'adresse aux rhétoriciens du Collège et du Sacré-Coeur. Le 1er mars, le trio Anne Froidebise et le violoncelliste Jindrich Ribenski donnent un pétillant concert classique dans le hall d'accueil. En avril, plus de quatre-vingts rhétoriciens partent à la conquête, culturelle, de la merveilleuse Sicile riche en trésors. C'est le premier voyage des rhétoriciens du Collège dans l'île d'Archimède et de Hiéron. En mai, Jean-Paul Labiouse nous invite à passer deux heures avec Topaze, un maître rendu célèbre par Marcel Pagnol. Et signe, en plus, six représentations d’ "Arlequin, Superstar". Le Collège, pendant trois ans, soit de 1996 à 1998, soutient un projet de développement dans une région très défavorisée du nord-est brésilien, Alagad
os.



1997-1998 L’Institut Saint-Hadelin, école primaire mixte de 4e, 5e et 6e années
1090 élèves se pressent à la rentrée des classes. Professeur de langues germaniques au Collège, M. Michel Renwart succède à M. Jean Lambillotte à la tête de l'Institut Saint-Joseph.
Bouleversement à l'Institut Saint-Hadelin, dirigé par M. Pierre Nihon : d'école de garçons à six ans, il devient une école mixte de 4e, 5e et 6e années.
Désormais les garçons de la 1ère à la 3e seront hébergés au Sacré-Coeur avec les filles du même âge.
Un nouveau bloc sanitaire, coûtant quelque 3,5 millions, est mis en service dans la cour de la Chapelle. La 2e marche parrainée pour Alagados rapporte 142.000 F. Le samedi 4 octobre, dans le hall, un concert classique est donné par François Cerny et Patrick Prégardien, anciens élèves, au piano, et le choeur mixte Saint-Apollinaire de Bolland dirigé par le directeur du Collège, qui interprètent devant un public nombreux et ravi les Liebesliederwalzer de Johannes Brahms.
Le 27 octobre, quatre-vingts rhétos partent pour Londres avec Mmes Bonten et Lesoinne, MM. Bonten, Kleynen, Lejeune et Lesoinne. Le 17 février, soit, jour pour jour, 325 ans après le décès de Molière, le grand comédien belge André Debaar, invité par notre ancien élève Jean-Pierre Lensen, donne sur Jean-Baptiste Poquelin une brillante conférence à la Salle des Fêtes devant des centaines d'élèves et d’adultes. Le lendemain, c'est Mme la députée Pierrette Cahay-André qui exposera devant nos élèves de terminale les rouages complexes de nos institutions politiques. Les 15 et 16 mai, hilarité à la Salle des Fêtes, où Jean-Paul Labiouse et ses nombreux complices théâtrophiles proposent le vaudeville "Le saut du lit", une machine à faire rire. Quinze jours plus tôt, M. Michel Brüll nous tirait sa révérence ; c'est l'occasion d'évoquer les trois sous-directeurs qui se sont succédé de 1987 à 2006.

Les sous-directeurs du Collège
En 1986, la population scolaire avait dépassé le nombre de six cents élèves : ceci permettait la création du poste de sous-directeur.
Le premier à ce poste fut M. Joseph Fafchamps, professeur de sciences économiques au Collège jusqu'alors; il assuma cette fonction depuis décembre 1987 jusqu'à la fin de 1988, moment où il demanda à en être déchargé. Après avoir enseigné l'économie au Sacré-Coeur pendant un an, M. Fafchamps fut détaché pour l'inspection et Infodidac, avant de devenir, en 1996, le responsable de la cellule "Economie" du Secrétariat Général de l'Enseignement Catholique (SeGEC), fonction qu'il exerce toujours avec une compétence et une expérience hors du commun.
Professeur d'économie lui aussi, mais à l'Institut du Sacré-Coeur, M. Michel Brüll succéda à Joseph Fafchamps à partir du 1er janvier 1989. Pendant plus de neuf ans, jusqu'au 30 avril 1998, Michel Brüll allait mettre au service de notre maison ses grandes qualités de gestionnaire. De son action dynamique, nous retiendrons son investissement très actif dans plusieurs chantiers : la période majeure des grands travaux, la rénovation des "Saints Fainéants", la construction de deux blocs sanitaires, la transformation du garage en bibliothèque.
Affecté à la gestion financière, il se signala par deux entreprises couronnées de succès : tout d'abord, il informatisa la comptabilité de toute l'implantation et introduisit un système comptable moderne en adjoignant aux comptes “recettes et dépenses” un bilan intégrant les amortissements, les règles d'évaluation, et autres raffinements qui sont généralement l'apanage des experts comptables; grâce à lui, le Collège allait être à la pointe du progrès parmi les établissements scolaires de la Communauté française; cette démarche favorisera bien plus tard, en 2006, le passage obligé à cette comptabilité complète, imposée à tous les établissements par le décret dit de la Saint-Boniface et la réforme de la loi sur les A.S.B.L.
Qui plus est, il se signala par une gestion proactive de la dette : les remboursements, jusqu'en 2018, de l'emprunt lié aux travaux de rénovation ne se font pas de manière uniforme, les premières annuités étant modestes, les dernières, très onéreuses. Il fallait donc constituer une réserve pour faire face aux échéances finales, les plus lourdes. Financier averti, Michel Brüll, aidé par la conjoncture, les conseils du banquier et l'accroissement constant de la population scolaire et donc des subsides, fit fructifier le bas de laine de telle façon que, à son départ, la situation du Collège était, sinon enviable, du moins rassurante pour l'avenir. Mais Michel Brüll était également engagé dans le mouvement des mini-entreprises, au point que l'A.S.B.L. Jeunes Entreprises lui proposait au début de 1998 de devenir le 1er mai son premier directeur, le poste venant d'être créé : c'est donc avec le sentiment, justifié, d'un travail bien accompli, mais non sans un pincement au coeur que le deuxième sous-directeur quittait le
Collège pour vivre de nouvelles aventures. Lui succéda M. Yvon Lejeune, docteur en mathématiques arrivé à Saint-
Hadelin dès 1987. Monsieur Lejeune entreprit de s'initier aux arcanes de la comptabilité et devint bientôt un collaborateur précieux à la direction. Partageant avec Gilbert Lesoinne et Paulette Petit tous les soucis de la conduite du Collège, il va superviser les multiples tâches de l'économat, en liaison constante avec M. Christian Charanson, économe depuis le départ de M. Freddy Brandt en 1995, présider, comme Michel Brüll l'avait fait, le Comité pour la Prévention et la Protection au Travail (C.P.P.T.), mettre en oeuvre toutes les impositions nouvelles en matière de finances et de comptabilité, favoriser l'introduction des centres cybermedia et le développement du recours aux nouvelles technologies de la communication, en particulier de l'Internet, collaborer étroitement avec le directeur G. Lesoinne à tous les investissements matériels : tâche multiforme mais indispensable à la vie de l'institution. Dernière innovation en date, imposée à toutes les écoles secondaires, la collaboration avec un réviseur aux comptes lui demandera un effort particulier d'autant plus exigeant qu'il sera appelé par le Pouvoir Organisateur à être la personne de référence pour les trois économes des écoles secondaires catholiques visétoises. Depuis plus de dix ans, M. Lejeune donne également avec M. Lourtie, les cours supplémentaires de mathématique le mercredi après-midi, de manière tout à fait bénévole. Avant M. Lejeune, c’est M. Fallais qui dispensait ces cours parallèlement à M. Lourtie. Avec MM. Fafchamps, Brüll et Lejeune, la direction du Collège s'est enrichie : les directeurs du Collège et du D.O.A. Saint-Hadelin travaillent ainsi en équipe de trois, avec une grande connivence, pour le bien de la maison.


Joseph Fafchamps
Michel Brüll
Yvon Lejeune

1998-1999 1er Musicamania, M.Yvon Lejeune 3e sous-directeur, local des Rhétos sécurisé
La rentrée de 1998 se signale donc par la confirmation de M. Yvon Lejeune au poste de sous-directeur à la place de M. Michel Brüll, et par un nombre d'élèves frôlant toujours les 1.100 !
Le local des rhétoriciens s'est vu, à la fin des vacances, doté d'une entrée directe sur la cour, protégée par un joli vestibule vitré réalisé par la firme Corman de Grand-Rechain. Ainsi sécurisé, ce local a également été carrelé par nos techniciens "maison", MM. Jacques Botty et José Gonzalez. Lequel M. Botty venait de perdre brutalement son épouse, concierge du Collège depuis 1992.
Le 19 novembre, l'English Teaching Theater proposait ses sketches humoristiques aux élèves de 4e et à leurs parents dans la Salle des Fêtes.
Mais le printemps 1999 restera dans les annales comme l'avènement du premier Musicamania, spectacle de chansons, textes et danses mis sur pied par une cinquantaine d'élèves sous la houlette de deux professeurs passionnés, M. Eric Scarpa et Mme Marie-Hélène Stevens. L'idée avait germé lors d'une retraite de 4e. Deux ans de préparation pour une production originale couronnée de succès lors de deux représentations les samedi 24 et dimanche 25 avril. Peu auparavant, le vendredi 5 mars, M. William Ancion, ministre polyvalent de la Communauté française, était intervenu devant les rhétoriciens en un exposé magistral. La mini-entreprise propose un plateau à servir décoré d'épices logées dans un fond transparent : gros succès pour "Plateam" ! Devant une Salle des Fêtes comble, Alain Hubert vient raconter et montrer sa fabuleuse traversée de l'Antarctique; cette manifestation était organisée par l'Association de Parents de l'Institut Notre-Dame de Jupille ! A la présidence de notre Association de
Parents, le dévoué M. Daniel Fraikin, en fonction depuis 1995, cède le relais à M. André Bruyère, Visétois bien connu et ancien élève, sorti de rhétorique en 1973. Au concours de dessin du "Soir", les élèves de M. Robert Cahay se distinguent encore, après un 1er prix déjà remporté pour une oeuvre collective.
Pendant les vacances de Pâques, septante rhétoriciens découvrent les trésors de Florence et de Sienne, les charmes de Pompéi, de Paestum, de Capri, de Rome et de la Côte amalfitaine. M. Jean-Paul Labiouse est méconnaissable, il s'est rasé la barbe pour jouer avec ses collègues et ses élèves comparses
"L'enlèvement" - encore un vaudeville - les 21 et 22 mai. Toujours avec le même succès.
Le mois de mai pleure la disparition prématurée de Mme Geneviève Thirion, professeur de dessin et d'art plastique.



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